Steve Jobs vient de traiter de "pingres", les majors du disque qui veulent que certains morceaux soient vendus plus cher que 99 cents sur iTunes.
Alors, la réponse ne s'est pas fait pas attendre. Edgar Bronfman, le président du groupe Warner Music, réagit violemment. Non seulement il est déterminé à demander un prix plus élevé pour les morceaux qui ont demandé un investissement important, mais comme le format Apple est propriétaire, et son modèle économique affiché est la vente de l'iPod, voire du Macintosh, il demande une marge sur la vente des baladeurs: "Nous devons garder en tête la nécessité de satisfaire nos actionnaires, et nous fournissons les armes dans la bataille entre Samsung, Sony, Apple et les autres"
Hum, mais que pourrait bien demander Sony Music? A eux deux, ils doivent représenter 80% de l'offre.
Et, dans un autre ordre d'idée, que pourraient demander à Skype tous ces sympathiques fournisseurs d'infrastructures Internet, et notamment les opérateurs de téléphonie, qui laissent gratuitement utiliser leur bande passante sans aucune contre-partie.
mardi, septembre 27, 2005
Apple, Warner, Sony Music - Modèles économiques complexes...
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