vendredi, février 16, 2007
e-paper et France Culture
Je suis invité à parler encre électronique dans la nuit du vendredi 23 au samedi 24, lors de l'émission Minuit Dix..., sur France Culture.
jeudi, février 15, 2007
Google Talk, Buddha, et soit-disants petits détails
"Le Buddha est dans l'architecture et dans les soit-disant petits détails", se plait à dire Jean-Louis Gassée à propos de Macintosh. Aujourd'hui, illustration dans Google Talk:
- L'affichage d'un petit clavier, vibrant à la vitesse de frappe de l'interlocuteur, positionné tout près de la zone de saisie. Il permet de savoir si le correspondant est en train de taper, afin d'éviter de l'interrompre. Quel retour en arrière avec Skype, qui donne l'impression d'utiliser un Talkie Walkie!
- L'indication que le poste du correspondant n'est pas utilisé depuis un certain temps (idle), évitant ainsi de lui écrire pour rien, ou de penser qu'il a reçu l'information alors qu'il n'est pas là.
Lorsqu'une bonne partie de la communication de l'entreprise est basée sur de tels outils, la différence à l'usage est colossale.
- L'affichage d'un petit clavier, vibrant à la vitesse de frappe de l'interlocuteur, positionné tout près de la zone de saisie. Il permet de savoir si le correspondant est en train de taper, afin d'éviter de l'interrompre. Quel retour en arrière avec Skype, qui donne l'impression d'utiliser un Talkie Walkie!
- L'indication que le poste du correspondant n'est pas utilisé depuis un certain temps (idle), évitant ainsi de lui écrire pour rien, ou de penser qu'il a reçu l'information alors qu'il n'est pas là.
Lorsqu'une bonne partie de la communication de l'entreprise est basée sur de tels outils, la différence à l'usage est colossale.
Drôle de pub...
J'avais déjà remarqué une publicité Google pour Ségolène Royal sur le site de Jean-Michel Billaut, dans le BillautShow, mais je ne voyais pas le rapport (Show?). Le plus drôle avait été la subtile promotion AdSense du livre de Nicolas Sarkozy sur le blog de Jack Lang.
Ce matin, encore plus fort! C'est dans GMail qu'on me suggère un site contre la mauvaise haleine. Panique! Je ne m'étais aperçu de rien. Peut-être alors l'ail, dans les pâtes, hier soir? Mais comment mon Vaio sait-il, sent-il? Fausse alerte, c'était juste l'émetteur du mail. Il me mentionnait la "mauvaise" qualité d'une vidéo qu'il venait de m'envoyer. Il n'empêche, cela fait un choc!
Ce matin, encore plus fort! C'est dans GMail qu'on me suggère un site contre la mauvaise haleine. Panique! Je ne m'étais aperçu de rien. Peut-être alors l'ail, dans les pâtes, hier soir? Mais comment mon Vaio sait-il, sent-il? Fausse alerte, c'était juste l'émetteur du mail. Il me mentionnait la "mauvaise" qualité d'une vidéo qu'il venait de m'envoyer. Il n'empêche, cela fait un choc!
mercredi, février 14, 2007
Blog et droit de réponse : Cas d'école...
Nous avions déjà eu l'occasion d'intervenir sur l'Internet pour défendre un journaliste "attaqué" par une horde de bloggeurs déchainés.
Cette fois-ci, sous le titre "mauvais échos pour l'e-paper", un billet de la rubrique "high tech test matériel" d'AOL discrédite le projet des Echos, ses acteurs et les technologies mises en oeuvre, sans d'évidence les connaître. Accompagnant le projet, j'ai demandé officiellement un droit de réponse, qui nous a été refusé. Pour aller plus loin, il faut enclencher l'arsenal juridique.
Nous verrons. En attendant, que faire lorsqu'une situation pareille se présente?
1- Réagir le plus vite possible, dans les commentaires du blog en question, et à maintes reprises, pour rétablir la vérité et contrebalancer un minimum les traces négatives qui commencent à se propager.
2- Demander un correctif ou un droit de réponse dans le même blog, afin de toucher les lecteurs occasionnels et souscripteurs de flux.
3- En cas de refus, publier un correctif sur ses propres blogs et sites, afin d'informer sur la qualité de la publication en cause. Les moteurs d'indexation font le reste, votre droit de réponse commence à s'exercer.
Il ne faut pas laisser passer. Trop de blogueurs se croient autorisés à critiquer à tort et à travers les marques et les personnes, en se croyant à l'abris. Mais le droit sur l'Internet est le même que dans la presse traditionnelle. On ne peut discréditer (ou laisser discréditer sur son site) des personnes, sociétés et produits que l'on ne connait pas. La loi autorise un droit de réponse. Plus sur le sujet...
Cette fois-ci, sous le titre "mauvais échos pour l'e-paper", un billet de la rubrique "high tech test matériel" d'AOL discrédite le projet des Echos, ses acteurs et les technologies mises en oeuvre, sans d'évidence les connaître. Accompagnant le projet, j'ai demandé officiellement un droit de réponse, qui nous a été refusé. Pour aller plus loin, il faut enclencher l'arsenal juridique.
Nous verrons. En attendant, que faire lorsqu'une situation pareille se présente?
1- Réagir le plus vite possible, dans les commentaires du blog en question, et à maintes reprises, pour rétablir la vérité et contrebalancer un minimum les traces négatives qui commencent à se propager.
2- Demander un correctif ou un droit de réponse dans le même blog, afin de toucher les lecteurs occasionnels et souscripteurs de flux.
3- En cas de refus, publier un correctif sur ses propres blogs et sites, afin d'informer sur la qualité de la publication en cause. Les moteurs d'indexation font le reste, votre droit de réponse commence à s'exercer.
Il ne faut pas laisser passer. Trop de blogueurs se croient autorisés à critiquer à tort et à travers les marques et les personnes, en se croyant à l'abris. Mais le droit sur l'Internet est le même que dans la presse traditionnelle. On ne peut discréditer (ou laisser discréditer sur son site) des personnes, sociétés et produits que l'on ne connait pas. La loi autorise un droit de réponse. Plus sur le sujet...
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