Nous avions déjà eu l'occasion d'intervenir sur l'Internet pour défendre un journaliste "attaqué" par une horde de bloggeurs déchainés.
Cette fois-ci, sous le titre "mauvais échos pour l'e-paper", un billet de la rubrique "high tech test matériel" d'AOL discrédite le projet des Echos, ses acteurs et les technologies mises en oeuvre, sans d'évidence les connaître. Accompagnant le projet, j'ai demandé officiellement un droit de réponse, qui nous a été refusé. Pour aller plus loin, il faut enclencher l'arsenal juridique.
Nous verrons. En attendant, que faire lorsqu'une situation pareille se présente?
1- Réagir le plus vite possible, dans les commentaires du blog en question, et à maintes reprises, pour rétablir la vérité et contrebalancer un minimum les traces négatives qui commencent à se propager.
2- Demander un correctif ou un droit de réponse dans le même blog, afin de toucher les lecteurs occasionnels et souscripteurs de flux.
3- En cas de refus, publier un correctif sur ses propres blogs et sites, afin d'informer sur la qualité de la publication en cause. Les moteurs d'indexation font le reste, votre droit de réponse commence à s'exercer.
Il ne faut pas laisser passer. Trop de blogueurs se croient autorisés à critiquer à tort et à travers les marques et les personnes, en se croyant à l'abris. Mais le droit sur l'Internet est le même que dans la presse traditionnelle. On ne peut discréditer (ou laisser discréditer sur son site) des personnes, sociétés et produits que l'on ne connait pas. La loi autorise un droit de réponse. Plus sur le sujet...
mercredi, février 14, 2007
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16 commentaires:
La chose a faire eut été d'accepter une interview, proposée.
Quant au discrédit du produit, il faut une certaine dose d'hypocrisie pour le voir. Je réitère ici mon opinion, sur laquelle s'articule mon éditorial : je ne crois pas à un projet d'un lecteur RIGIDE et à usage unique (sans parler des problèmes que soulève la multi-opérabilité de ces lecteurs entre eux, soulevée justement par l'ami Billaut.), au moment même où arrivent sur le marché les premiers appareils véritablement convergent (iPhone). Cela s'appelle une opinion. On peut ne pas la partager. On n'est pas obliger de la démoniser parce qu'on ne la partage pas. La liberté d'expression existe aussi sur Internet, ne vous en déplaise.
Mais il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir...
Concernant l'interview, nous avons déjà répondu. On la fait avant de publier un article, pas après, si tant est qu'elle soit intéressante. C'est l'usage dans la profession.
Pour le reste, la question n'est pas la liberté d'expression, c'est le fait de véhiculer une image négative d'un projet et de ses acteurs sans rien connaître ni des modalités de l'opération, ni des technologies associées.
Les enjeux des ruptures qui s'annoncent avec l'encre électronique sont trop importants, les acteurs trop impliqués, pour être traités n'importe comment.
Droit de réponse, pourquoi ? La seule réponse intéressante sera celle du marché, mi avril. Toutefois, il serait dommage de ne pas prendre en compte certains commentaires suscités par cet article, notamment sur le contenu, les multi-titres, une convergence chimérique. Mais il est peut être trop tard :-(
Droit de réponse, sur le fond, car le bloggeur n'a jamais vu les produits qu'il critique, utilise des qualificatifs négatifs (grossier, etc...), et mentionne des caractéristiques fausses: Exemple: L'Iliad (et non iRex) n'est pas plus fin que le lecteur Ganaxa, mais fait le double d'épaisseur!). Ou encore, que sait-il des éditeurs qui rejoignent l'expérimentation des Echos, ou des tests sur flexible, rien!
Sinon, oui, tout le monde peut émettre une opinion, même si c'est une reprise de lieux communs, sans connaissance du sujet, manifestement.
Mon bon Bruno,
c'est un régal que de vous lire !
Manifestement, vous avez un conception particulière de la critique : si elle est bonne, elle est acceptée. Si elle est mauvaise, c'est forcément un empilage de lieux communs !
Ben voyons.
Je crois qu'on atteint vite les limites du débat (ou d'autre chose...).
Quel rapport entre les tests des éditeurs (je suppose que vous parlez de la Martinière) et l'idée qu'un lecteur rigide à une application n'a pas d'avenir ? Aucun.
A vrai dire, le mot de la fin revient à mafournier : le marché tranchera. Si dans 10 ans tout le monde dans le métro sera équipé d'un lecteur rigide spécialement dédié à la lecture d'UN journal sans inter-opérabilité, j'aurais eu tort et ça ne me sera pas difficile de le reconnaitre.
Si dans 10 ans tout le monde dans le métro consultera la dernière édition de son quotidien favori depuis un terminal unique faisant office de téléphone, de reader/navigateur Web, d'iPod, d'appareil photo, reconnaitriez-vous que vous avez eu tort ?
Tout le débat est là, pas dans un débat stérile d'offensé illusoire.
Allons, être constructif ne nuit jamais !
Monsieur Rives
De quoi vous plaignez-vous? A première vue, on parle de votre produit, un peu de publicité ne nuit pas. Consommatrice delta, je n'avais que peu entendu parler de l'e-paper jusqu'à présent. Ensuite, je suis tout à fait d'accord avec les autres réponses. Si votre produit doit fonctionner par la suite, ce n'est pas un billet sur un blog qui l'en empêchera. C'est faire trop d'honneur au drfactor - même s'il a toute mon estime - que de penser 1) que la France entière lit son blog et 2) qu'il a une telle force de prescripteur. Enfin, je pense que si vous vouliez un droit de réponse, vous auriez bien mieux fait d'accepter une interview. Nous ne sommes pas une dictature stalinienne. Vous ne pouvez décemment pas faire un rectificatif effaçant les critiques, sans que cela ne s'apparente aux méthodes du régime cité plus haut.
Un peu de dignité voyons!
Cordialement
Mais il faut de la critique! Positive ou négative. Pourvu qu'elle soit fondée. Or, le bloggeur en l'occurence n'a JAMAIS vu les produits critiqués, ni ne connait le projet en cours. Quel intérêt de leur appliquer des qualificatifs aussi négatif?
Pour le reste, nous n'avons pas de produit, mais accompagnons des marques qu'il nous arrive de défendre. Nous ne menons pour l'instant que des expérimentations visant à mesurer justement les modèles économiques, technologiques et marketing de ces nouvelles technologies. Elles vont évoluer pendant les 5 prochaines années. Peut-être le caractère rigide (sachez simplement que c'est un faux débat car toute l'électronique mobile sera flexible dans 2 ou 3 ans) ne sera pas l'avenir, mais le papier a mis 1500 ans à trouver son équilibre, comment avoir la prétention de donner son avis alors que cela n'a pas encore commencé pour l'e-paper. Les vrais spécialistes ne se prononcent même pas!
Et c'est une évolution du papier qu'il faut voir, utiliser, sans cela c'est impossible d'émettre le moindre début d'opinion, vraiment.
Si je peux me permettre, la descriptif de vos activités me laisse supposer que c'est précisément de communication que nous parlons.
Or, en l'espèce, vos méthodes me paraissent très largement dépassées, voire maladroites, (mais peut-être faudra-t-il, là aussi, attendre 1500 ans pour pouvoir émettre une opinion sur le sujet - mais pourquoi se cantonner à si peu d'ambition, tapons plus haut... disons dix millénaires).
Bouillonner dans son coin, en cognant les murs et en hurlant, développer un post d'une rare vacuité sur le pourquoi du comment stopper-un-buzz-à-moi-tout-seul et sortir à la première contrariété les gros mots tellement policés que sont en l'espèce les termes "avocats" ou "service juridique" (d'ailleurs, et pour information, il me semble que vous avez oublié dans votre listing des menaces new age les "60 millions de consommateurs", les "écrire au Ministre" et l'incontournable "j'en réfèrerai à qui de droit..."), vraiment, c'est du très très lourd à mes yeux. Quant à cette histoire de page de garde d'AOL, chapeau bas, il fallait vraiment l'oser, celle-ci.
Quant à votre phrase "On la fait avant de publier un article, pas après, si tant est qu'elle soit intéressante.", elle constitue un exemple émouvant de fragilité argumentative là-encore, puisque si je vous suis bien, une interview doit être faite :
- avant rédaction si elle est intéressante.
- après ladite rédaction si elle n'est pas intéressante.
Ce qui force le journaliste à décider à l'avance si l'interview va être ou non intéressante. C'est à dire à prendre parti avant même d'en avoir tâté. C'est à dire à faire exactement ce que vous avez reproché à celui que vous vous délectez à qualifier de "bloggeur" d'avoir fait.
Clap clap, mes félicitations.
Enfin, l'argument sur le papier qui aurait mis 1500 à "trouver son équilibre" (l'équilibre du papier, bon, disons que l'expression est jolie, et passons), ce qui interdirait de facto à quiconque de donner son avis au sujet des nouvelles technologies, je vous conseille sincèrement de le développer au maximum et de le compiler en une thèse publiée, je crois que ça fait un bon moment que l'obscurantisme n'a plus été défendu publiquement, à l'aide d'arguments parfaitement fallacieux.
Pour information, et si je vous suis, voici une petite liste des thématiques au sujet desquelles personne ne devrait plus s'exprimer avant longtemps, avec à chaque fois une date de "libération" du sujet :
- Internet (libération du sujet en l'an 3480 environ),
- le cinéma (libération en l'an 3400),
- Victor Hugo (libération en l'an 3302),
- François Rabelais (libération en l'an 3000),
En bref, tout objet non inventé ou toute personne non née avant l'an 507 après Jésus-Christ ne peut faire l'objet d'une discussion circonstanciée avant un bon moment.
On va bien avancer, à ce rythme, merci. Vous me direz, il reste la Préhistoire, la Grèce et l'Egypte Antique - c'est vrai, merci mille fois de votre clémence pour elles.
Ceci dit, j'imagine que vous vouliez vous faire remarquer, et à ce titre vous avez plutôt réussi. Je ne connaissais pas votre blog, ni votre nom, ni votre société. C'est maintenant chose faite.
Pour ce coup de pub (totalement fortuit bien évidemment), donc, je vous envoie mes sincères félicitations.
Petite illustration du droit de réponse:
Dans mon billet sur Buddha et soit-disants petits détails, je critique Skype et son ergonomie, poussant plutôt le lecteur à opter pour Google Talk en chat.
Imaginons qu'un responsable de ladite société, pas content du tout, on le comprend, demande un correctif car j'ai une méconnaissance flagrande de son produit, par exemple qu'il y a une fonction encore plus intéressante que celle de Google Talk.
Dans la blogsphère, comme dans la presse classique, d'ailleurs, il est d'usage d'accepter. J'aurais donc immédiatement publié le correctif, par un billet, afin de donner autant de poids à cette contre information.
Mais si je ne l'avais pas fait, laissant le temps s'écouler (le temps sur Internet = indexation progressive du négatif associé aux marques), laissant communiquer sur mon blog des commentaires encore plus négatifs contre Skype et ce responsable (ce qui est très inhabituel), mon interlocuteur aurait été en droit d'exiger un droit de réponse.
Messieurs,
En tant qu'utilisateur potentiel de ces nouvelles technologies, j'aimerais dépasser le niveau des procès d' intention (qui me paraissent d' ailleurs un rien exagérés de part et d'autre) pour avoir des informations sur le fond :
1- J'ai moi-même utilisé un Iliad d'Irex, et j'en ai tiré une expérience de lecture très satisfaisante (à part l'autonomie, passons...). En lisant le billet de DRfactor (et après avoir écumé nombre de forums/blog/sites sur le sujet), j'ai tout de même eu l'impression que, sous couvert de vouloir donner son opinion, il tentait de donner l'impression d'avoir fait un travail de fond avant de rédiger l'article alors qu'il accumulait en même temps les commentaires arbitraires (si Sony s'était vraiment ramassé avec le Librié, pourquoi lancer le PRS-500 ? Et l'échec de Cytale en 2002 peut'il être extrapolé à nos jours alors que l'usage des nouvelles technologies s'est répandu de façon fulgurante depuis ? Sans compter le facteur e-paper, justement). Alors certes, la confusion vient peut-être du fait que tout cela a été publié sur un blog (moyen d'information ou juste vecteur d'opinion, donc subjectif ? Il est vrai que venant de la rédaction d'AOL on présuppose un peu de sérieux et d'objectivité... Est-ce une erreur ?) et non dans un article de journal, mais au fond, l'accusation portée contre DRfactor d'un manque de renseignements avant d'écrire son billet tient-elle ? J'en ai l'impression, mais je ne demande qu'à être détrompé...
2-Au sujet de la flexibilité du support ou non, là vraiment c'est une question de goût, les deux options ayant des avantages évidents. Pas besoin d'écrire un roman là-dessus, le marché jugera.
Le vrai point d'interrogation consiste pour moi à avoir une réponse sur l'INTEROPERABILITÉ, beaucoup plus trompeuse pour le consommateur (voir ce qui se passe avec la musique et la vidéo).
Le PRS-500 de Sony, L'Iliad, les futurs Jinke et autres peuvent tous au moins lire les fichiers PDF en natif. Souvent, les formats RTF, TXT et HTML sont aussi de la partie, au côté des formats propriétaires (BeBB, Wolf, etc.).
Je pense très sérieusement à souscrire à la prochaine offre des Échos au mois d'Avril, mais si le lecteur qu'ils me fournissent est limité à la seule lecture de ce journal à l'exclusion de tout autre, il est évident que leur abonnement, ils pourront se le garder !!!
Je n'ai pas trouvé d'information sur ce dernier point (à part l'allusion faite par DRfactor dans son premier post sur ce blog), et si quelqu'un a une information étayée, je suis preneur.
Le blogueur aurait été indépendant et commencé par "je ne suis pas au courant des détails de l'opérations des Echos, je n'ai pas vu les produits, je n'ai pas lu un livre entier sur dispositif à base d'encre électronique, mais je vais vous donner mon avis", cela pouvait aller.
Mais là, c'est AOL, le titre et le contenu sont négatifs, sans raison apparente, et nous avons proposé un correctif qui a été refusé. Il y a quelques semaines, l'un des blogs les plus influents sur l'e-paper a repris aux US une information erronée sur le projet des Echos, nous avons demandé un correctif, il est immédiatement passé.
Notre position est une affaire de principe. Nous sommes nombreux à penser qu'il faut réagir contre les pseudo articles qui critiquent marques et personnes, et laissent des traces sur l'Internet.
Sur le reste, c'est délicat. Nous testons de nouveaux dispositifs, voir http://papierelectronique.blogspot.com, sur lesquels les seuls Echos peuvent satisfaire des dirigeantes et dirigeants pour des informations stratégiques en temps réel. Mon usage personnel est différent, je souhaite emporter mes romans et encyclopédies avec moi, donc il me faut un contenu éditorial plus divers, et un e-reader commode pour cela.
Le flexible est intéressant mais pour l'instant tout sauf pratique. Avez-vous vu des gens qui lisent sur des feuilles de papier flexible? Non. Généralement, le livre est rigide par l'épaisseur des pages et des couvertures, et nous posons les feuilles A4 sur un bureau ou avons besoin de nos deux mains pour les tenir à plat. Pratique dans le métro, surtout debout:-) Sera-t-il petit? Grand? Convergent? Tout dépend de l'usage. Tout petit, si c'est un magnet de réfrigirateur qui vous donne les news, petit, si c'est pour tenir dans un sac à main, grand si c'est pour afficher des gravures de Dürer dans votre salon ou les plans de votre maison, très grand si c'est la publicité d'une quatrième de couverture dans le métro... En fait autant d'usages et de tailles que pour le papier traditionnel, avec sans doute un format de "poche" commun. Mais le poche ne convient pas à tout, et de loin.
Quant à l'interopérabilité, vous trouverez arguments et contre arguments. Est-ce qu'un catalogue d'exposition et un manuel d'A320 ont besoin d'être interopérables?
Tout cela illustre nos recommendations: encore 2 ans d'expérimentations, d'utilisations personnelles, de lab (nous en avons créé un spécialement pour cela), de discussions et projets analysés objectivement, avant de prétendre émettre des avis aussi définitifs.
Alors, BlueSky1974, vous continuez à utiliser l'Iliad?
Malheureusement non, il s'agissait de l'exemplaire d'un ami, un des premiers acheteurs !
Le seul point qui me retient de craquer est l'autonomie : une grosse dizaine d'heures avec le firmware 2.8, alors que Irex prétend pouvoir atteindre 21 heures avec toutes les options d'économie d'énergie activée (mais quand sortiront-ils le firmware ad-hoc ?), alors que le Sony PRS-500, non vendu en Europe (merci Sony), est réputé tenir au bas mot des semaines (il a un mode de veille qui s'enclenche à la moindre opportunité lui, y compris quand le lecteur... lit !).
Pour l'interopérabilité, il va de soit que ma perspective se place dans le cadre de l'utilisateur individuel faisant de son e-reader sa bibliothèque personnelle ambulante... Pour des applications dédiées (ref. l'exemple d'Airbus proposé par Mr Rives), évidemment, les choses sont différentes.
Il n'empêche que sortir un lecteur "Les Échos" verrouillé aux DRM maisons serait une grosse erreur de calcul, tout au moins auprès des lecteurs à titre personnel : ceux-là même qui se tiennent au courant et savent que d'ici à la fin 2007, l'offre "libre", multiformat et débarrassée des DRMs dont je parlais précédemment aura été mise à la disposition du public, au moins par le biais d'Internet.
Autrement, à titre professionnel, évidemment, c'est autre chose.
Oui, vous avez tout à fait raison. Sauf application permettant l'alimentation continue ou périodique suffisante, la "durabilité" est un facteur clé du papier électronique comme du papier classique. Il faut pouvoir lire encore tout un roman quand la batterie devient faible, et il est impossible que le e-reader soit à plat lorsqu'on le reprend après une période d'inactivité. Nous ne comptons d'ailleurs pas en heures d'autonomie, mais en pages tournées. 8 à 10 000 me semble un bon chiffre.
Quant à pouvoir entrer toute l'information que l'on souhaite, cela dépend vraiment de l'application. Mais oui, pour un e-reader personnel, si cela ne met pas en défaut les contenus ou applications résidentes. Vous verrez dans quelques semaines un e-reader qui le permet...
Un petit addendum pour vous dire, Mr Rives, que mon post sur le blog de DRFactor, qui était d'avis que son billet sur les e-book readers était mal renseigné et donnait ma propre expérience de l'Iliad à partager, vient de subitement disparaître !
Évidemment, on peut toujours penser à un problème technique, mais le fait est que j'ai pu le consulter sur le site d'AOL plusieurs jours après l'avoir envoyé, ce qui me laisse penser qu'il s'agit bien là d'une manipulation...
Bizarrement, DRfactor avait posté suite à mon post un message de remerciement à tous ses soutiens face à votre prétendu assaut de "mauvaise foi", ce qui faisait rien moins que ridicule juste après que j'ai abondé dans votre sens !
L'"erreur" a dû être remarquée, j'imagine... Et "corrigée". Si ça c'est du journalisme et du respect de la liberté d'expression !
Concernant votre remarque sur un e-reader adapté à une utilisation personnelle mélangeant différents types de données, vous imaginez bien mon impatience... S'agit'il vraiment de quelques semaines d'attente ? Je me suis enregistré deux fois sur le site des Échos, juste pour être sûr d'être bien dans leur petits papiers !!
Bon, au final, c'était bien une bouse ce projet. Faudrait rappeler ce bon DRFactor pour le lui dire !
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