Le Macintosh a été pour moi une source continuelle d'émerveillement, en même temps qu'une ouverture intellectuelle que seuls les robots de nouvelle génération et le papier électronique ont réussi à égaler.
L'une de mes premières missions professionnelles, en 1984, avait été d'assurer son lancement sur le marché français.
Dès le début de l'année 1982, guidé par Johanna Hofman, véritable égérie du groupe de ses créateurs, je fréquentais le groupe très fermé de ses créateurs. Ils m'impressionnaient et aimaient voir mes réactions à chacune de leurs avancées. Je les admirais pour leur passion et leur intransigeance sur les objectifs qu'ils s'étaient fixés (Steve jobs et Bill Atkinson avaient fait tester MacPaint en classe de maternelle pour être sûrs que tous sauraient utiliser un tel système). Je me souviendrai toute ma vie du jour où l'on m'a ouvert un rideau derrière lequel se trouvait une espèce d'E.T., avec à l'écran Alice (l'héroïne de Lewis Carroll) tentant d'éviter des trappes sur un échiquier en trois dimensions. À une époque où les ordinateurs du commerce affichaient des points scintillants en blanc sur noir ou vert! Je croisais Steve Jobs, qui me donnait quelques cours de marque, et des personnages comme Alan Kay, l'inventeur du livre électronique. J'ai commencé à écrire sur eux et leurs inventions. Je continuerai.
Macintosh est arrivé un peu tôt en 1984, il a connu une longue période de bas (pendant laquelle nous lui avons préféré le Sony Viao), mais c'est maintenant que débute pour Apple la période faste. Le MacBook Air et l'iPhone (qui est un Macintosh) le démontrent. Tous les ingrédients sont là et le besoin est croissant d'accéder à la connaissance, de communiquer et de se divertir, en tout temps et en tout lieu, avec des machines qui ont appris l'homme.
mercredi, janvier 28, 2009
25 ans de Macintosh, la machine qui a appris l'homme
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1 commentaire:
mon MacBook 15" te salue de Toulouse et approuve!
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