L'iPad est étonnant, époustouflant.
Certaines de ses applications sont évidentes dès qu'on les utilise: l'album photo (complément éventuel et rapidement indispensable de son appareil photo/caméra dont la taille d'écran et les fonctions sont limitées); la consultation de documents complexes (dans le métro, en attentant une réunion, à la place d'imprimés papier), et leur partage en petit comité; l'accès à l'Internet dans un lieu public (plus discret qu'un ordinateur et plus confortable qu'un iPhone); l'écriture et la création en mobilité, etc, etc. Les exemples d'utilisation des capteurs, fournis en guise de démonstration, permettent d'anticiper une formidable vague d'applications et d'usages innovants, en rupture avec l'univers traditionnel des ordinateurs et des téléphones.
Car l'iPad est comme un nouvel instrument, avec son ergonomie propre, des habitudes réflexes après seulement 24 heures, consultation de vidéos ou d'images, écoute de musique et la visualisation de clips. Comme si l'informatique et l'électronique nous avaient contraints à des interfaces dont nous sommes soudain libérés. Et nous n'avons pas encore en France iWork avec son fabuleux Keynote, et iBooks.
128k et SE30 (déjà transportables), Macintosh 270c, Sony Vaio PCG-505, MacBook Air, iPad. Emporter, modifier et partager des documents de tout type, en local, à distance ou en réseau. Dans la lignée de l'outil de réflexion, de communication, et de loisir culturel, l'un des axes stratégiques d'Apple, il faut compter désormais sur l'iPad.
samedi, avril 17, 2010
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