Principe du cercle vertueux de la réputation, dans la Blogoshère et alentours:
Préliminaires au principe:
- Choisir un nom (comme il est l'un des éléments du nom du site) qui soit en rapport direct avec l'indexation que vous souhaitez générer, et la "marque" que vous souhaitez mettre en avant. Vous savez que le nom du site est l'un des premiers critères d'indexation des moteurs de recherche (comme il est celui qui sera mémorisé par votre public).
- Mettre dans votre signature de mail, pour tout le monde ou pour vos cibles, l'adresse de votre blog. C'est le premier vecteur de communication.
- Comme c'est également le plat préféré des moteurs de recherche, soigner le nom des posts, aussi, car dans le système blog, ils deviennent, en partie, le nom des pages correspondantes (attention à comment l'outil de blog se débrouille, avec les accents notamment).
- Dans les posts, utiliser la bonne terminologie et orthographe, pour les mots que l'on souhaite devenir critères de recherche. Ne pas oublier le titre des éléments qui ne sont pas, aujourd'hui, référencés par les moteurs de recherche (photos, audio, vidéo, etc.).
Description du principe:
1- Dire et faire dire (c'est encore mieux) à l'entourage, relations, d'aller sur le blog, et donner bien l'adresse ou les mots-clés qui sont sûrs d'y amener le visiteur. Au bout d'un certain temps, le seul nom du blog ou son contenu essentiel, tapés dans Google ou Yahoo (pas dans msn, pourquoi? mystère), y conduira, l'adresse complète sera devenu superflue.
2- Provoquer l'attraction et la multiplication des liens, en publiant des choses intéressantes, afin que les lecteurs arrivent naturellement à votre blog par les moteurs de recherche et par le bouche-à-oreille réel ou virtuel, pointent vers lui, ou s'abonnent à ses flux RSS, ce qui fera immanquablement monter la réputation, qui elle, engendrera le point 1, et c'est parti. Ca tourne vite, c'est un "deux temps".
Merci de me citer si vous reprenez, et en mentionnant bien mon nom complet ou l'adresse de mon blog, bien entendu;-)
mercredi, février 23, 2005
mercredi, février 16, 2005
Computer Centric vs Media Centric
Dans le domaine de la musique, de la photo et de la vidéo, en ligne et mobile, deux approches, aujourd'hui totalement opposées, s'affrontent.
Le computer centric, catégorie dans laquelle on trouve Apple, Dell, HP, Microsoft, Toshiba et quelques autres, et le média centric, depuis longtemps stratégie de Sony et Matsushita pour ne citer que les principaux.
Je suis un tenant du media centric, bien que Steve Jobs l'emporte aujourd'hui dans le marché de la musique computer centric, avec plus de 70% du marché (représentant seulement 2% du marché total de la musique, il faut le souligner).
Le computer centric (cc) a un inconvénient majeur, l'obligation d'avoir un ordinateur pour gérer le contenu, l'acheter, le télécharger. L'autre inconvénient est que l'univers numérique y a été calqué sur l'organisation réelle, segmentée par producteurs, studios, labels, auteurs... C'est souvent un véritable casse-tète pour s'y retrouver.
Mais son énorme avantage, c'est que grâce à la puissance de la machine, son accès à l'Internet, ses ports d'entrée sortie standardisés et rapides, il a permis à Apple, et bientôt à d'autres, de trouver des modèles technologiques, ergonomiques, économiques cohérents, utilisables et satisfaisants.
Par opposition (du moins pour l'instant), le média centric est la solution révée. Le Memory Stick, par exemple, transporte allègrement musiques, photos, vidéos, mémos vocaux d'un dispositif à un autre (auto radio, écran plasma, ordinateur, baladeur, robot, livre électronique...).
Mais le média centric ne marche pas.
Pourquoi? Bonne question, car cela devrait marcher, devait marcher, mais on a oublié les "soit-disant" petits détails, que méconnaissent la plupart des stratèges et autres gens de marketing.
Les "soit-disant" petits détails, c'est l'excellence de la chaîne computer centric qui va du compositeur à vos oreilles, en deux clics, y compris en mobilité (en média centric, c'est aujourd'hui l'accumulation de systèmes et réglages hétéroclites); c'est le prix et l'offre si justement ajustés (grâce notamment aux revenus générés par l'ordinateur et ses périphériques), que l'on n'hésite plus à acheter plutôt que de pirater; c'est l'ergonomie des applications de la puissante machine qui rend possible de s'y retrouver dans un monde finalement très complexe, etc.
Mais si le numérique simplifiait ce monde? Si, au lieu de reproduire les organisations traditionnelles des médias, il permettait de créer un univers contextuel conforme aux goûts de chacun, en quelques menus à base d'intelligence artificielle, et que l'utilisateur puisse disposer de contenus par voie des airs principalement, sur son téléphone, mais aussi sur sa chaîne hi-fi, sa télévision, sans besoin de câbles ni de synchronisation?
C'est la voie qu'expérimente aujourd'hui Sony, avec StreamMan, sa plate-forme éditoriale révolutionnaire, aujourd'hui lancée pour la musique, mais prévue aussi pour tous les médias, et à disposition sur téléphone mobile (accessoirement sur ordinateur).
Le computer centric, catégorie dans laquelle on trouve Apple, Dell, HP, Microsoft, Toshiba et quelques autres, et le média centric, depuis longtemps stratégie de Sony et Matsushita pour ne citer que les principaux.
Je suis un tenant du media centric, bien que Steve Jobs l'emporte aujourd'hui dans le marché de la musique computer centric, avec plus de 70% du marché (représentant seulement 2% du marché total de la musique, il faut le souligner).
Le computer centric (cc) a un inconvénient majeur, l'obligation d'avoir un ordinateur pour gérer le contenu, l'acheter, le télécharger. L'autre inconvénient est que l'univers numérique y a été calqué sur l'organisation réelle, segmentée par producteurs, studios, labels, auteurs... C'est souvent un véritable casse-tète pour s'y retrouver.
Mais son énorme avantage, c'est que grâce à la puissance de la machine, son accès à l'Internet, ses ports d'entrée sortie standardisés et rapides, il a permis à Apple, et bientôt à d'autres, de trouver des modèles technologiques, ergonomiques, économiques cohérents, utilisables et satisfaisants.
Par opposition (du moins pour l'instant), le média centric est la solution révée. Le Memory Stick, par exemple, transporte allègrement musiques, photos, vidéos, mémos vocaux d'un dispositif à un autre (auto radio, écran plasma, ordinateur, baladeur, robot, livre électronique...).
Mais le média centric ne marche pas.
Pourquoi? Bonne question, car cela devrait marcher, devait marcher, mais on a oublié les "soit-disant" petits détails, que méconnaissent la plupart des stratèges et autres gens de marketing.
Les "soit-disant" petits détails, c'est l'excellence de la chaîne computer centric qui va du compositeur à vos oreilles, en deux clics, y compris en mobilité (en média centric, c'est aujourd'hui l'accumulation de systèmes et réglages hétéroclites); c'est le prix et l'offre si justement ajustés (grâce notamment aux revenus générés par l'ordinateur et ses périphériques), que l'on n'hésite plus à acheter plutôt que de pirater; c'est l'ergonomie des applications de la puissante machine qui rend possible de s'y retrouver dans un monde finalement très complexe, etc.
Mais si le numérique simplifiait ce monde? Si, au lieu de reproduire les organisations traditionnelles des médias, il permettait de créer un univers contextuel conforme aux goûts de chacun, en quelques menus à base d'intelligence artificielle, et que l'utilisateur puisse disposer de contenus par voie des airs principalement, sur son téléphone, mais aussi sur sa chaîne hi-fi, sa télévision, sans besoin de câbles ni de synchronisation?
C'est la voie qu'expérimente aujourd'hui Sony, avec StreamMan, sa plate-forme éditoriale révolutionnaire, aujourd'hui lancée pour la musique, mais prévue aussi pour tous les médias, et à disposition sur téléphone mobile (accessoirement sur ordinateur).
mercredi, février 09, 2005
Déjeuner techno pratique...
Aujourd'hui, déjeuner techno pratique chez A. et D. La famille compte deux enfants, de 11 et 16 ans, ce qui donne naturellement 4 Powerbooks Apple de dernière génération, 4 Clié (UX50 et TH55) , le tout wi-fisé pour les data et la musique, et il y a aussi mon Aibo dont ils ont repris l'éducation à zéro.
Il serait long de décrire en détail nos conversations, mais ceux que cela intéresse peuvent m'écrire pour avoir plus de détail. Pour l'essentiel:
Vivement le prochain !!!
Il serait long de décrire en détail nos conversations, mais ceux que cela intéresse peuvent m'écrire pour avoir plus de détail. Pour l'essentiel:
- Les nouveautés open source pour installer blogs, wikis sur ses propres serveurs, et les premiers logiciels de compta ou de commerce en ligne (multi devise, multilingue).
- Compte-rendu de l'utilisation de StatCounter et évaluation du développement d'un outil de tracking stratégique autour de nouveaux concepts (notoriété, suivi de personnes et de publications, intra applications mail, web, blogs...) et prise en compte des nouveaux "objets" manipulés sur Internet.
- Réflexions et commentaires sur la stratégie de Palm sur Linux et l'intégration d'applications de haut niveau, depuis le rachat du leader China MobileSoft
- Commentaires sur Motorola et le support de Linux sur ses téléphones
- Conséquences probables de l'entrée chez Google de l'un des piliers de Mozilla qui a toute latitude pour continuer sa participation aux projets open-source.
- Evolution du marché du PDA, des consoles de jeux mobiles (PS3) et smartphones.
- Présentation de l'architecture "cell" du processeur IBM/Sony/Toshiba. Enjeux technologiques et stratégiques.
- Expérimentation de l'interface de prise de contrôle à distance d'un Macintosh à partir d'un Clié ou de tout autre PDA ou PC. Très utile pour utiliser un Mac Mini ou pour administrer la machine de votre grand-mère.
Vivement le prochain !!!
mardi, février 01, 2005
Mieux comprendre le phénomène Blog/RSS...
Pour mieux comprendre le phénomène Blog/RSS, lire absolument le dossier de Fortune Magazine du 10 janvier 2005. Tebaldo organise la prochaine session de son Observatoire sur ce sujet stratégique le 17 février matin, à Paris. Pour plus d'infos sur la session...
Et nous avons eu la chance d'avoir un superbe compte-rendu de la dernière réunion à : viabloga, avec des illustrations remarquables. Merci à Xavier Maury.
Et nous avons eu la chance d'avoir un superbe compte-rendu de la dernière réunion à : viabloga, avec des illustrations remarquables. Merci à Xavier Maury.
MacOSX? Windows? Et pourquoi pas les deux?
Allez, c'est dit : "je suis bi".
J'ai choisi un Portable Vaio pour sa légèreté (le premier PowerBook Apple digne de ce nom, le 100, était fait par Sony, j'en ai pris là l'habitude), le support natif du Memory Stick (qui passe allègrement de ma caméra à mon Clié UX50 et à l'Aibo), sa comptabilité windows, et pour des logiciels et interfaces de robotique et autres (chut, secret...) qui ne tournent que sur Vaio.
Et j'utilise également un Macintosh Powerbook, pour la qualité et confort de son interface, son intégration rich média et ses logiciels uniques: MacOSX, Keynote, GarageBand, iMovie, bientôt Gimp et gestion de flux RSS... Et XServe d'Apple pour les serveurs WEB et le streaming vidéo.
Mon tableur préféré est Excel, logiciel qui réconcilie tout le monde. C'est d'ailleurs une question que je pose à tous les anti Microsoft: "Et vous, qu'utilisez-vous comme tableur?". "Excel, invariablement", même si certains ont essayé d'utiliser des Open Office ou autres, mais en sont vite revenus. Avec les chiffres, on ne prend pas de risques, et il faut que ce soit efficace.
Nous le savons tous, Windows se dégrade tout seul, sans que l'on sache comment faire pour le nettoyer, si bien que le conseil que l'on donne généralement est de réinstaller complètement le système tous les ans, et d'aucuns redémarrent leur PC tous les matins pour être sûr de nettoyer la mémoire qui se pollue d'heure en heure. J'ai ainsi le souvenir d'un écran de la Gare de Lyon à Paris, à 10 mètres de hauteur, en pleine nuit, complètement planté, et affichant un désespéré et illusoire "Increase the Virtual Memory" au lieu des informations sur les arrivées. Fort heureusement, les systèmes de robots chirurgiens ou d'assistance au domicile ne tournent pas sous Windows...
Depuis peu, le spyware et autres adwares, profitant des multiples failles, sont tellement invasifs que Microsoft prépare un utilitaire pour faire le ménage. La version bêta de cet anti spyware est tellement efficace qu'elle supprime... Internet Explorer. C'est un peu gênant!!! On voit bien là les inconvénients de faire perdurer un système plein de rustines, de surcouches, et les avantages du nouveau système d'Apple, tout propre, tout neuf, en avance certainement de plusieurs années sur ses concurrents.
Alors, comme je l'ai dernièrement conseillé à un prospect de la FNAC qui hésitait entre Vaio et Macintosh : "Prenez les deux, vous serez plus tranquille", et, comme l'écrit le San José Mercury News aujourd'hui, "avec le tout nouveau Mac Mini, et son prix de périphérique, pourquoi pas Macintosh ET Windows?".
J'ai choisi un Portable Vaio pour sa légèreté (le premier PowerBook Apple digne de ce nom, le 100, était fait par Sony, j'en ai pris là l'habitude), le support natif du Memory Stick (qui passe allègrement de ma caméra à mon Clié UX50 et à l'Aibo), sa comptabilité windows, et pour des logiciels et interfaces de robotique et autres (chut, secret...) qui ne tournent que sur Vaio.
Et j'utilise également un Macintosh Powerbook, pour la qualité et confort de son interface, son intégration rich média et ses logiciels uniques: MacOSX, Keynote, GarageBand, iMovie, bientôt Gimp et gestion de flux RSS... Et XServe d'Apple pour les serveurs WEB et le streaming vidéo.
Mon tableur préféré est Excel, logiciel qui réconcilie tout le monde. C'est d'ailleurs une question que je pose à tous les anti Microsoft: "Et vous, qu'utilisez-vous comme tableur?". "Excel, invariablement", même si certains ont essayé d'utiliser des Open Office ou autres, mais en sont vite revenus. Avec les chiffres, on ne prend pas de risques, et il faut que ce soit efficace.
Nous le savons tous, Windows se dégrade tout seul, sans que l'on sache comment faire pour le nettoyer, si bien que le conseil que l'on donne généralement est de réinstaller complètement le système tous les ans, et d'aucuns redémarrent leur PC tous les matins pour être sûr de nettoyer la mémoire qui se pollue d'heure en heure. J'ai ainsi le souvenir d'un écran de la Gare de Lyon à Paris, à 10 mètres de hauteur, en pleine nuit, complètement planté, et affichant un désespéré et illusoire "Increase the Virtual Memory" au lieu des informations sur les arrivées. Fort heureusement, les systèmes de robots chirurgiens ou d'assistance au domicile ne tournent pas sous Windows...
Depuis peu, le spyware et autres adwares, profitant des multiples failles, sont tellement invasifs que Microsoft prépare un utilitaire pour faire le ménage. La version bêta de cet anti spyware est tellement efficace qu'elle supprime... Internet Explorer. C'est un peu gênant!!! On voit bien là les inconvénients de faire perdurer un système plein de rustines, de surcouches, et les avantages du nouveau système d'Apple, tout propre, tout neuf, en avance certainement de plusieurs années sur ses concurrents.
Alors, comme je l'ai dernièrement conseillé à un prospect de la FNAC qui hésitait entre Vaio et Macintosh : "Prenez les deux, vous serez plus tranquille", et, comme l'écrit le San José Mercury News aujourd'hui, "avec le tout nouveau Mac Mini, et son prix de périphérique, pourquoi pas Macintosh ET Windows?".
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