OU L'ON APPREND QUE TWITTER EST LE MEDIA DE TOUS LES MEDIAS, 100% COMPATIBLE RSS (LA VALIDATION DE LA CONNAISSANCE AUTEUR, TITRE, SUJET, DATE), MALHEUREUSEMENT UN PEU POLLUÉ PAR LA PUBLICITE, MAIS QU'ON ESPERE AUTOREGULER. SINON, ON EN TROUVERA UN AUTRE.
J'ai une amie qui était assez sceptique, je lui ai conseillé d'adopter le comportement que l'on peut avoir quand on rejoint une assemblée (mariage, convention professionnelle, ...).
On essaye de savoir si l'on connait quelqu'un, auquel cas on se fait signe, on rejoint SA discussion (on follow), on écoute, éventuellement on prend la parole, non pour vendre sa sauce, mais dans le cours de la conversation (non pas "vous savez, j'ai une promo à 10% sur tous les bas de contention", alors qu'on échangeait sur le dernier SIA et sa danseuse culte de 16 ans). Sinon, on va vers le buffet, on laisse trainer ses yeux, ses oreilles, et on devient membre d'une autre conversation avec une(un) ou plusieurs anonymes. Vous pouvez donc ne faire qu'écouter, ou participer, vous extraire de toute conversation sans que cela ne dérange le moins du monde les autres, sinon, vous prévenez, "je dois quitter, j'ai un sanglier sur le feu, ou deux, selon grosseur". Donc, mon amie, au lieu d'arriver sur Twitter avec ses gros sabots, trouver de nouveaux clients de conceptrice rédactrice, choisit la poésie, son dada.
Elle traina (followa) du coté de gens qui en parlaient (après une petite recherche de gens et de sujets connexes grace à un moteur de recherche tip top), et pas des moindres, car le monde entier y est. Elle reporta des propos (erta, comme la saucisse éponyme, mais il n'y a que moi qui emploie cette expression, ou retweeta, merveilleux moyens d'avoir en un clic l'audience du journal de 20 heures par un "ami" qui a 1,5M de followers, aurais-je jamais eu la chance d'accéder à cette audience dans la vie réelle? jamais), et, de fil en aiguille, elle fut rapidement suivie, bingo!, par Livres Hebdo, 4200 followers (@livrehebdo, qui me suit également, preuve qu'il faut suivre ses amis, lorsqu'ils ont des conversations avec des gens intéressants, le fait que mon amie m'ait tout de suite demandée de la suivre attire les autres:-). Elle atteignit vite une audience correcte, pour glisser dans l'oreille de certains (on le fait en fin de soirée, "au fait, que faites vous dans la vie? Je cherche du boulot dans l'édition":-)
N'est-il pas incroyable, ce média de tous les médias, qui me permet de parler en temps réel à Elon Musk, à Obama, à mon robot Teo Gus ou à Tim Cook, par la simple mention de leur nom Twitter, dans mes micro billets? Lisez les derniers que j'ai publiés, vous verrez comme c'est commode. Tous les relais d'opinion y sont, quel avantage! Il faut savoir écouter et avoir éventuellement de la conversation, mais cela, vous savez, non?؟ (mais vous pouvez ne faire qu'écouter, que faites-vous aux discours ou pendant les concerts?).
Allez, bonne balade dans ces nouveaux mondes numériques, je vous suivrai, mais pas longtemps, le temps que vous trouviez votre place, on a l'air con, sinon, tout seul au milieu d'un cocktail, fût-il géant!
PS) J'ai créé une convention éditoriale, mettre en italique le début déjà lu d'un billet sur les réseaux sociaux ou ailleurs. Je n'ai pas trouvé mieux. Quelqu'un a peut-être une meilleure idée?
J'ai une amie qui était assez sceptique, je lui ai conseillé d'adopter le comportement que l'on peut avoir quand on rejoint une assemblée (mariage, convention professionnelle, ...).
On essaye de savoir si l'on connait quelqu'un, auquel cas on se fait signe, on rejoint SA discussion (on follow), on écoute, éventuellement on prend la parole, non pour vendre sa sauce, mais dans le cours de la conversation (non pas "vous savez, j'ai une promo à 10% sur tous les bas de contention", alors qu'on échangeait sur le dernier SIA et sa danseuse culte de 16 ans). Sinon, on va vers le buffet, on laisse trainer ses yeux, ses oreilles, et on devient membre d'une autre conversation avec une(un) ou plusieurs anonymes. Vous pouvez donc ne faire qu'écouter, ou participer, vous extraire de toute conversation sans que cela ne dérange le moins du monde les autres, sinon, vous prévenez, "je dois quitter, j'ai un sanglier sur le feu, ou deux, selon grosseur". Donc, mon amie, au lieu d'arriver sur Twitter avec ses gros sabots, trouver de nouveaux clients de conceptrice rédactrice, choisit la poésie, son dada.
Elle traina (followa) du coté de gens qui en parlaient (après une petite recherche de gens et de sujets connexes grace à un moteur de recherche tip top), et pas des moindres, car le monde entier y est. Elle reporta des propos (erta, comme la saucisse éponyme, mais il n'y a que moi qui emploie cette expression, ou retweeta, merveilleux moyens d'avoir en un clic l'audience du journal de 20 heures par un "ami" qui a 1,5M de followers, aurais-je jamais eu la chance d'accéder à cette audience dans la vie réelle? jamais), et, de fil en aiguille, elle fut rapidement suivie, bingo!, par Livres Hebdo, 4200 followers (@livrehebdo, qui me suit également, preuve qu'il faut suivre ses amis, lorsqu'ils ont des conversations avec des gens intéressants, le fait que mon amie m'ait tout de suite demandée de la suivre attire les autres:-). Elle atteignit vite une audience correcte, pour glisser dans l'oreille de certains (on le fait en fin de soirée, "au fait, que faites vous dans la vie? Je cherche du boulot dans l'édition":-)
N'est-il pas incroyable, ce média de tous les médias, qui me permet de parler en temps réel à Elon Musk, à Obama, à mon robot Teo Gus ou à Tim Cook, par la simple mention de leur nom Twitter, dans mes micro billets? Lisez les derniers que j'ai publiés, vous verrez comme c'est commode. Tous les relais d'opinion y sont, quel avantage! Il faut savoir écouter et avoir éventuellement de la conversation, mais cela, vous savez, non?؟ (mais vous pouvez ne faire qu'écouter, que faites-vous aux discours ou pendant les concerts?).
Allez, bonne balade dans ces nouveaux mondes numériques, je vous suivrai, mais pas longtemps, le temps que vous trouviez votre place, on a l'air con, sinon, tout seul au milieu d'un cocktail, fût-il géant!
PS) J'ai créé une convention éditoriale, mettre en italique le début déjà lu d'un billet sur les réseaux sociaux ou ailleurs. Je n'ai pas trouvé mieux. Quelqu'un a peut-être une meilleure idée?