Depuis quelques jours, je suis l'heureux (!) possesseur de mon deuxième iPhone 16G blanc (le premier, c'est ici). J'ai attendu patiemment le blanc, car un livre à marges noires gène mes lectures.
La première prise en main fût décevante. Etonnamment lourd, anguleux (contrairement aux rondeurs de son prédécesseur), plus épais que l'édition noire (0,2mm, mais pour nous autres ridiculement puristes et collectionneurs, c'est trop) et une batterie qui n'avait pas tenu quelques twitts, une vidéo et l'écoute de la radio du matin. J'allais écrire que l'iPhone 4 me rappelait le Macintosh II qui m'avait décidé à quitter Apple, tant il n'avait rien à voir avec le design d'un Macintosh digne de ce nom.
Dès le lendemain, j'étais décidé à le rendre. Pour enfoncer le clou, M., oui M., me décrivit son retour à l'iPhone GS, tout en m'apprenant heureusement comment tuer les activités gourmandes laissées ouvertes par le multitâche. Puis, sans que j'y prenne gare, mon besoin de photo plus haute définition, de vidéo et de montage, d'expérimentations d'applications comme Goggles voix et vidéo, de boussole pour l'orientation dans Paris, prit le dessus.
J'ai bien fait de temporiser. Aujourd'hui, j'ai au moins une certitude, tant que Sony Ericsson et Samsung ne la bousculent pas trop. Je crois que l'iPhone 4 dont on peut relever des questionnements de design pour un téléphone mobile, est de fait une formidable tablette de main. Et si j'étais Steve Jobs, je changerais sa dénomination, pour éviter la comparaison avec les autres smartphones: IPad mini, caméripad, Ipodphone,...
Mais je ne suis pas Steve Jobs.
lundi, mai 09, 2011
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire